[cmsms_row data_padding_bottom= »50″ data_padding_top= »0″ data_overlay_opacity= »50″ data_color_overlay= »#000000″ data_bg_parallax_ratio= »0.5″ data_bg_size= »cover » data_bg_attachment= »scroll » data_bg_repeat= »no-repeat » data_bg_position= »top center » data_bg_color= »#ffffff » data_color= »default » data_padding_right= »3″ data_padding_left= »3″ data_width= »boxed »][cmsms_column data_width= »1/1″][cmsms_featured_block animation_delay= »0″]

Le jeudi 30 janvier dernier, on apprend par voie de presse que les gymnasiens qui ont participé à la grève du climat du 18 janvier 2019 n’ont pas tous été traités à la rnême enseigne concernant leur absence aux cours suivant de quel gymnase ils étudient. Malgré un appel de la Conférence des Gymnases Vaudois demandant à ne pas mettre de sanction plus sévère que d’habitude, les gymnasiens de Payerne ont été sanctionné durement. Depuis, la direction du GYB est revenue en arrïère. Ce retour ne concerne que les potentiels travaux écrits non effectués. Mais selon les !nformal!ons du signataire, d’auires gymnasiens grévistes se sont vu sanctionnés d’une « absence injustifiée » aux conséquences potentiellement aussi graves (deux absences injustifiées correspondent à un jour de suspension dans certains gymnases) que l’échec d’un test écrit.

La grève peut-elle dès lors être considérée comme une absence justifiée (par l’urgence climatique) ?

Question de notre député Vincent Keller au Grand Conseil vaudois

[/cmsms_featured_block][/cmsms_column][/cmsms_row]