[cmsms_row data_padding_bottom= »50″ data_padding_top= »0″ data_overlay_opacity= »50″ data_color_overlay= »#000000″ data_bg_parallax_ratio= »0.5″ data_bg_size= »cover » data_bg_attachment= »scroll » data_bg_repeat= »no-repeat » data_bg_position= »top center » data_bg_color= »#ffffff » data_color= »default » data_padding_right= »3″ data_padding_left= »3″ data_width= »boxed »][cmsms_column data_width= »1/1″][cmsms_featured_block animation_delay= »0″]

Les étudiant.e.s et les apprenti.e.s subissent comme chaque année depuis la mise en place du nouveau règlement d’application (RLAEF) de lourds retards dans le versement des bourses d’études. Les conséquences de ces retards sont connus et documentés : n’ayant pas droit à l’aide sociale, les bénéficiaires d’une bourse d’étude non versée s’endettent, ne peuvent plus payer leurs factures courantes et vivent dans une situation de précarité, Au vu des retards systématiques dont accuse l’OCBE, le Conseil d’Etat prévoit-il de débloquer un fonds d’urgence pour permettre aux étudiants et apprentis de toucher au moins une partie de l’aide financière qui leur est due, afin d’éviter les situations de précarité et d’endettement ?
Question déposée par Vincent Keller député POP du groupe Ensemble à Gauche

[/cmsms_featured_block][/cmsms_column][/cmsms_row]